Día 12 - Oh! Mon château-ohohohoh….


Si les châteaux c'est pas votre fort… passez votre tour! Parce qu'aujourd'hui les gringos vont se balader au Castillo San Felipe de Barajas


Sans trop rentrer dans les détails technico-historiques, c'est la plus grande forteresse construite par les colons espagnols (d'après Lonely Planet), rien que ça. Ça veut donc dire que c'est pas une visite que vous expédiez en 10 minutes… parce qu'il vous en faut au moins 15 pour aller tout en haut! 

"vous êtes presque arrivés…"

Sans parler du temps hyper-méga-super lourd, qui ne facilite pas du tout les choses… je vous ai dit qu'il faisait lourd à Cartagena?
Malheureusement, la nuit n'a pas suffi à modifier le climat de la ville. Faut faire avec: du coup, je ne ferai pas partie des visiteurs assidus, mais plutôt de ceux qui dès qu'il y a un coin pour se poser y vont. J'aime bien les châteaux, mais pas assez pour suer 3 litres tous les 500 m ^^ 

Je me limiterai donc au minimum syndical du touriste, histoire de rester scotchée devant ce que des hommes ont été capables de bâtir quelques siècles auparavant, et aussi histoire d'admirer la ville d'en haut. 
Mais d'autres - Damien et Laurent pour ne pas les citer - seront de très bons touristes, suivant leur audioguide jusqu'à la fin. 

je suis pas la seule à souffrir du temps :)

vue sur Cartagena

ça en jette!







canon, pièce d'artillerie destinée à…

… servir de banc aux touristes!


en attendant nos bons élèves…

kékidi le monsieur dans le casque??? 

spycrab dans un des nombreux tunnels 

"et là, le drapeau de Colombie"

tous les chemins mènent…

… à Jean Paul II ! 

Après cette matinée placée sous le signe de l'histoire, retour en centre-ville pour que Flore (arrivée la veille) puisse également découvrir la vielle ville. Notre hôtel étant dans la partie moderne, on prend donc le taxi. 
Et là, 2 choses à retenir pour vos futures vacances (peu importe où) - mais peut-être que ça vous semblera tellement évident que vous vous demanderez "ils ont vraiment dit ça?!":
- le "taxi! suivez cette voiture!" ça marche que dans les films, pas dans la vraie vie! On a essayé, mais cela n'a pas été très concluant. Et c'est pas comme si tous les taxis se ressemblaient ici…
- le "on se retrouve en ville" sans plus de précisions, ça vous mène pas loin. Juste à perdre 15-30 minutes à essayer de retrouver les autres gringos de la bande dans une ville qu'on ne connaît pas, sans pouvoir rester au téléphone de façon illimitée car ça coûte une blinde… Bref, on la fait… on le refera pas!

Une fois la bande réunie, objectif trouver un maillot de bain pour Aurore. Et là, même si vous n'êtes pas fan de shopping, vous suivez… car les boutiques sont climatisées - voire sont de véritables frigos tellement le choc thermique est immense!
En plus, elles offrent la possibilité d'attendre dans les meilleures conditions pendant que ces mesdemoiselles font leurs essais. C'est pas Benji et Laurent qui diront le contraire…

France!

"chéri, il me va comment celui-là? chéri?!"

Les essayages finis, nous sommes démasqués au détour d'une rue par un expat' tenant un restau - le "Oh!Lá Lá" - qui nous invite à déguster du rhum colombien - le Dictador.
Comme quoi, ça n'a pas que du mauvais de se faire repérer :)

Après cette pause "désaltérante", on continue nos déambulations dans les rues:
- soit pour avoir les yeux qui brillent devant les diverses boutiques d'émeraudes de la ville - car la Colombie est parmi les premiers exportateurs de cette pierre précieuse, si ce n'est le premier;
- soit pour rechercher désespérément des cartes postales! Ils ne connaissant pas vraiment le concept ici, et moi qui en recherche une bonne vingtaine je galère. Mais pas autant que quand je vais vouloir les envoyer… 

Tout ça fait que l'heure du restau arrive: retour à côté du Oh!Lá Lá pour nous régaler à El Bistro:

pisco sour pour Aurore, 
cocktail typiquement latino-américain 

¡buen provecho!

C'est qu'il faut prendre des forces, vu la journée qui nous attend demain… 

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